Le coup de grâce aux échecs
Il n'est pas toujours nécessaire de rendre brutales les choses pour contraindre son adversaire à abandonner. La simple prise d'un pion suffit ainsi dans l'exemple suivant, solution de l'exercice de la semaine dernière.
Partie Kérès-Levenfich, URSS, 1949.
1. Dxb4 !! Dur pour le moral (1. ..Txb4 2. Tc8+ Cg8 3. Txg8+ Rxg8 4. Te8 mat ou1. Te8 2. Dxe7!)
1-0
Partie Kérès-Levenfich, URSS, 1949.
1. Dxb4 !! Dur pour le moral (1. ..Txb4 2. Tc8+ Cg8 3. Txg8+ Rxg8 4. Te8 mat ou1. Te8 2. Dxe7!)
1-0